Deuxième joli dimanche

Cette semaine, l'air était un peu plus frais que la semaine dernière mais le grand soleil était au rendez-vous. Notre sportif qui fêtait ses 9 ans avec ses copains était dans les starting blocks... Son dernier anniversaire à 1 chiffre, c'est plutôt moi qui prend un coup de vieux...
Avant d'attaquer le récit de cette journée sportive, 9 petites choses sur mon grand garçon (qui a eu 9 ans vendredi, mais trop débordée pour poster le jour J):

* A 9 ans, on aime le foot et les copains. Et les copains avec qui on joue au foot.
* A 9 ans, on découvre les chagrins de supporter.
* A 9 ans, on ne sait pas dire oui simplement, il faut commencer par dire non, juste pour voir.
* A 9 ans, dur de comprendre qu'on ne peut pas tout réussir du premier coup.

* A 9 ans, on aime encore les playmos (surtout les tous nouveaux de son petit frère)
* A 9 ans, on n'aime pas prêter ses legos (surtout les tous nouveaux, surtout à son petit frère).
* A 9 ans, on aime encore beaucoup les surprises de maman pour les gouters d'anniv (et on a très envie de mettre la main à la pâte).
* A 9 ans, on approche à grands pas de la (pré-)adolescence (mais papa et maman aimeraient bien avoir un peu de répit)
* A 9 ans, on passe très vite du regard malicieux au regard sérieux, de la bonne humeur à la colère...

Donc ce grand garçon est le 3e de la série d'anniversaires de la famille au mois de mars (même le 4e si on compte sa Bonne-Maman). Pas toujours facile d'attendre ces 14 longs jours depuis l'anniversaire du petit frère et les premiers cadeaux qui arrivent.
Mais il savait qu'aujourd'hui serait un grand jour de foot avec ses copains:
* Rendez-vous à la maison pour partager le gâteau, les friandises et ouvrir les cadeaux:

The gâteau au chocolat vite fait et inratable, les mêmes pâtes à sucre que la semaine dernière...
un thème différent (j'avais prévenu, très très foot, mon grand garçon).

Pour les grands, des brochettes gourmandes (non grillées) ont remplacé les petites autos.

Mari-chéri a mis ses talents de modelage au service de la cause.

Après 45 minutes de plaisir, départ en masse de la joyeuse troupe pour une séance de foot en salle, à 5 contre 5, dans un stade mythique pour ces petits supporters parisiens (enfin pas tous supporters du même club, mais tous supporters il n'y a aucun doute):

Au retour ils étaient tous ravis, plus très propres (doux euphémismes) et même pas fatigués (ils ont fait ce qu'ils pouvaient pour achever notre pelouse en attendant leurs parents).

Et pour savoir ce que moi je faisais pendant que la marmaille et mon homme occupaient le terrain, il faudra attendre un peu (il faut que je vous présente ma nouvelle copine)...